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Date de création : 06.04.2009
Dernière mise à jour : 15.07.2021
165 articles


HISTOIRE PAYS

HISTOIRE DU GABON

Publié le 13/12/2013 à 18:18 par fico Tags : population superficie Histoire du gabon

Superficie : 

267 670 km²

Capitale : 

Libreville

Population : 

1.90 millions d'habitants

PIB par habitant : 

4 414 365 FCFA

Taux de croissance du PIB de l'année dernière : 

6.80 %

Taux de croissance du PIB pour cette année : 

5.70 %

Inflation : 

 

1.30 %

 

http://gabon-ofmcap.com/historia-gabonu/?lang=fr



AZERBAIDJAN

Publié le 29/11/2013 à 13:01 par fico Tags : pays

Population: 9 000 000 d'habitants

Capitale:  Bakou

Langue officielle: azéri

Principale exportation: pétrole

 

L'AZERBAIDJAN est un des tois pays qui constitue le Caucase du Sud et le plus grand. Les habitants ont la réputation d'être chaleureux et joyeux, un lien familial fort. Ils aiment la musique et la poésie. LE MUGAM est un genre de musique très populaire accompagné des instruments traditionnels.

Le thé très présent dans la culture locale est servi dans des petits verres en forme de poire avec un morceau de sucre, et parfois des pistaches, des amandes et des raisins secs.

La mer Caspienne qui longe l'est du pays regorge une espèce d'esturgeon appelée bélouga. Ce poisson peut vivre une centaine d'années. Il est convoité pour ses oeufs, à partir desquels on prépare le caviar noir.



LE BASSIN DU CONGO UN RESERVOIR DE BIODIVERSITE

Publié le 09/05/2010 à 12:17 par fico
Le Bassin du Congo : un réservoir de biodiversité menacé de disparition

BRAZZAVILLE, (IRIN) En plein cœur de l’Afrique, le bassin de la rivière Congo est un écosystème marin et forestier comprenant
- les territoires de la République démocratique du Congo (RDC),
- la République du Congo,
- le Cameroun,
- la République centrafricaine,
- la Guinée équatoriale et
- le Gabon.

Bassin du Congo, considéré à juste titre comme le deuxième poumon de la terre après la forêt amazonienne, constitue un grand réservoir de biodiversité. Ses forêts sont victimes d’une exploitation abusive et ses espèces animalières souvent menacées d’extinction.

La superficie du Bassin du Congo est estimée à 520 millions d’hectares, selon la FAO. La forêt représente à elle seule près de 200 millions d’hectares, soit 38,4 pour cent de la superficie du bassin. C’est donc 30 pour cent de la couverture végétale du continent africain qui s’y trouve et 19 pour cent des forêts tropicales du monde.

Ces forêts disposent de produits ligneux et non-ligneux. Dans ce gigantesque réservoir, 10 000 espèces végétales ont été identifiées, dont environ 3 000 sont endémiques. Le Bassin du Congo représente également 440 000 hectares de plantations forestières dominées pour l’essentiel par des essences à croissance rapide telles les eucalyptus et les pins.

De plus, il offre un potentiel de développement économique et écologique considérable. En terme de biodiversité, le Bassin du Congo est incontestablement l’espace le plus riche d’Afrique. Il possède, entre autres, de gigantesques provisions de carbone.

Par ailleurs, avec le fleuve Congo et ses affluents, le bassin contient une importante réserve d’eau douce.

Actuellement, environ 100 millions de personnes – dont un peu plus de la moitié sont originaires de la RDC – vivent dans le Bassin.

Selon la Commission des forêts d’Afrique centrale (COMIFAC), le Gabon et le Congo sont les deux pays de la région du bassin où la migration urbaine est en hausse. Dans les autres pays, 65 pour cent de la population demeure dans les régions rurales où leur survie dépend en grande partie de l’exploitation de la forêt.

Lors d’une présentation sur le Bassin du Congo durant le sommet des chefs d’état à Brazzaville, COMIFAC a déclaré que «la forêt est la principale source d’énergie et de nourriture pour ses habitants, dont la population croît rapidement en raison des taux de natalité élevés. Elle leur apporte du charbon de bois pour la cuisson des aliments, des protéines par la viande de brousse et des plantes médicinales remplaçant les médicaments manufacturés.

Le COMIFAC précise également qu’«une analyse récente des documents stratégiques de réduction de la pauvreté (DSRP) montre que les forêts et leur rôle dans la réduction de la pauvreté sont encore ignorés».

Pour une grande partie des populations de la sous-région d’Afrique centrale, la destruction de l’environnement et des forêts se traduit directement par une dégradation des conditions de vie des populations et met en danger la survie même des plus pauvres.

«Bien que les forêts ne soient pas le meilleur moyen de sortir les populations de la pauvreté, elles constituent actuellement le filet de secours qui leur permet de survivre, dans la mesure où elles maintiennent] leur intégrité écologique », affirment les experts de la [COMIFAC.

Diversité de la richesse du Bassin du Congo

Les forêts du Congo sont riches en espèces animales emblématiques, rares et ou menacées dont les éléphants et autres grands mammifères.

Dans l’ensemble, les forêts du Bassin renferment environ 400 espèces de mammifères, 1086 espèces d’oiseaux, 216 espèces d’amphibiens, 280 espèces de reptiles et plus de 900 espèces de papillons. Le Bassin est habité par 80% des gorilles de savane. Quelque 4 000 éléphants et 9 000 chimpanzés y ont été inventoriés.

«Ce cheptel est peu connu. Les inventaires ne sont pas fréquents», affirme sous couvert d’anonymat, un expert de Greenpeace, une ONG internationale de protection de l’environnement.

Certaines espèces fauniques sont intégralement protégées. C’est le cas des lions, des panthères, des okapis, des grands singes et des éléphants, ces derniers particulièrement en raison de leur ivoire très sollicité sur le marché international.

A l’occasion du deuxième sommet des Chefs d’Etats sur la conservation et la gestion durable des écosystèmes forestiers à Brazzaville, le président de la RDC, Joseph Kabila, a annoncé la tenue de la première conférence mondiale et intergouvernementale sur les grands singes à Kinshasa en septembre prochain.

Pour garantir la survie des différentes espèces de grands singes, les pays du Bassin ont décidé de créer des espaces protégés d’une superficie de 27 906 500 hectares environ, dont 35 parcs nationaux.

L’avenir des forêts du Bassin est menacé par le commerce illicite du bois, le braconnage des animaux, la présence ou l’apparition de maladies tel le virus d’Ebola.

Le commerce illégal des produits et la déforestation

«En terme de dégradation des ressources forestières du monde, il y a un vide. Chaque année 14 millions ha de forêts disparaissent. Celles du Bassin du Congo ne sont pas en reste», estime M. Jean Prospère Koyo, expert à la FAO.

Pour le directeur général de la FAO, Jacques Diouf, le Bassin du Congo enregistre chaque année une perte de 934 000 hectares de forêts.


Le taux d’exploitation de la forêt varie d’un pays à un autre de la sous-région. Mais dans l’ensemble, selon la FAO, les forêts du Bassin ont connu entre 1990 et 2000 une diminution de 8 266 000 hectares, soit un recul de 137 000 hectares par an.

D’après la FAO, deux causes principales expliquent la diminution progressive de la couverture végétale des pays du Bassin. Il s’agit notamment de l’agriculture itinérante et de l’exploitation du bois de chauffe dont la production a été évaluée à 67 000 000 de mètres cubes en 1998. En Afrique centrale, l’agriculture se développe autour des zones d’habitation et le long des axes routiers.

Peu de reboisement est fait, estime la FAO->http://www.fao.org/index_fr.htm. On estime qu’environ 300 000 hectares ont été reboisés.

Le président français Jacques Chirac, présent au sommet de Brazzaville, a affirmé que le commerce illicite du bois tropical des forêts du Bassin entraînera des pertes économiques de l’ordre de 10 à 15 millions d’euros chaque année.

Par ailleurs, les espèces animales du Bassin sont victimes d’un braconnage sans précédents. Les animaux dont la présence favorise l’essor de l’écotourisme sont abattus par les braconniers pour diverses raisons. Le bongo, une espèce de grand singe rencontré en RDC et au Congo, est recherché pour sa peau qui serait utilisée par l’industrie occidentale de fabrication de chaussures. Il en est de même pour les éléphants dont l’ivoire est très prisé par les fabricants de bijoux.

«Les braconniers font mal à l’économie nationale. Tous les produits de leurs activités sont vendus à des citoyens étrangers qui en tirent le meilleur profit», dénonce le ministre congolais de l’économie forestière et de l’environnement, Henri Djombo.

«Le braconnage ne peut qu’empêcher les partenaires internationaux d’investir dans le domaine du tourisme», ajoute-t-il.

Dans le Bassin, le braconnage touche à la fois les espèces animales marines (les tortues luths particulièrement) et terrestres. Il a pris des proportions inquiétantes ces dix dernières années à cause de la circulation d’armes légères ou de petits calibres dans certains pays du Bassin, en l’occurrence le Congo, la RDC et la RCA qui ont tous connu des guerres civiles à répétition.

Un autre fléau qui constitue une réelle menace d’extinction des animaux est le virus d’Ebola, même s’il reste circonscrit jusque-là à la frontière entre deux pays : le Congo et le Gabon. Sa source n’est pas encore connue.

Les indications recueillies sur le terrain par Mme Magdalena Bermejo, une primatologue d’origine espagnole, font ressortir une poussée de l’épidémie d’Ebola vers la plus grande réserve d’Afrique centrale, le parc d’Odzala au nord du Congo-Brazzaville.

Placé sous la protection d’Ecosystèmes forestiers d’Afrique centrale (ECOFAC) grâce au financement de l’Union européenne, ce parc abriterait plus de 20 000 des 75 000 gorilles des plaines réparties entre le Congo et le Gabon.

En 2003, le virus a décimé 500 primates sur les 800 qui peuplaient le sanctuaire de Lossi situé non loin du parc d’Odzala.

Quand l’épidémie d’Ebola a fait son apparition au cours des années 1970 en RDC, plus précisément dans la zone de Kikwit, plusieurs dizaines de personnes avaient été tuées. Ce virus est mortel dans 50 à 90% des cas.

«Ebola ne doit pas réduire à néant tous les efforts entrepris pour la conservation de la faune du poumon gauche de la terre», déclare M. Djombo.

Un partenariat de 29 entités internationales constitué des pays du Bassin, des membres du G8, d’ONG internationales et d’agences de l’ONU comme la FAO, a été appelé à financer le Plan de Convergence. Ce plan décennal (2004-2013) mis en place par la COMIFAC est une plate-forme d’actions prioritaires pour le développement du secteur forestier. Il nécessite un investissement de 1,3 milliards de dollars américains.

Le processus de conservation des écosystèmes forestiers du Bassin intéresse désormais d’autres états. Le Tchad, le Burundi, le Rwanda et Sao Tomé et Principe ont aussi participé au deuxième sommet des chefs d’Etats à Brazzaville, le 5 février dernier.

La volonté exprimée par tous ces états de gérer rationnellement leurs ressources forestières peut s’expliquer par le fait que ces ressources sont inépuisables. Elles sont appelées à remplacer le pétrole qui constitue le principal produit d’exportation de ces pays depuis l’indépendance dans les années soixante.

Source: la grande Epoque


Cameroun Afrique en miniature

Publié le 06/12/2009 à 12:21 par fico
Une Afrique en miniature : Le Cameroun
Le Cameroun est situé en Afrique Centrale, au fond du golfe de Guinée.

Il est limité au Nord par le Tchad, à l’Est par la République Centrafricaine, au Sud par le Congo, le Gabon et la Guinée Equatoriale, à l’Ouest par le Nigéria.

Le Cameroun est un pays qui compte plusieurs grandes villes parmi lesquelles YAOUNDE, la capitale politique du pays qui compte plus d'un million d'habitants, DOUALA, la capitale économique compte plus de deux millions d'habitants.

Ensuite viennent des villes comme GAROUA, BAFOUSSAM, MAROUA, BAMENDA, ... qui sont d'importants centres urbains.

POPULATION
Le Cameroun compte 240 ethnies, réparties en trois grands groupes (Bantous, Semi-Bantous, Soudanais) et correspond à 240 langues nationales. Les ethnies les plus représentatives sont :

Bantous:

Béti, Bassa, Bakundu, Maka, Douala, Pygmées
Semi-Bantous: Bamiléké, Gbaya, Bamoun, Tikar
Soufdanais: Foulbé, Mafa, Toupouri, Arabes-Choas, Moundang, Massa, Mousgoum,…
LANGUES
Le français et l’anglais sont les langues officielles, elles sont parlées respectivement par 70 % et 30 % de la population. L’Espagnol et l’Allemand sont également connues par de nombreux citadins.

RELIGIONS
Le Cameroun est un état laïc.
Deux principales religions y sont pratiquées: le Christianisme et l’Islam. On note aussi la pratique de l’Animisme par de nombreuses populations.

FETES
Fêtes religieuses:


Vendredi Saint, Pâques, Ascension, Pentecôte, Assomption, Noël, fin de Ramadan, fête du mouton.
Fêtes légales:


Jour de l’An, fête de la Jeunesse (11 Février), fête du Travail le 1er Mai, Fête nationale le 20 Mai.
SAISON TOURISTIQUE
En dehors de la chasse sportive qui se pratique dans la partie septentrionale du pays de novembre à mai, la saison touristique couvre toute l'année et les touristes peuvent visiter le Cameroun tout le long de l'année.

Climat et météo:

La saison sèche se situe de novembre à avril.

TEMPERATURES MINIMA ET MAXIMA: De 23 à 31°C en janvier et de 21 à 35° C en juillet.

Code ISO du Pays:

Décalage(s) horaire(s) / Paris : 1 heure l'été, pas de décalage en hiver

LES 10 REGIONS du Cameroun
1- Région de l'Adamaoua
2- Région du Centre
3- Région de l'Est
4- Région de l'Extrême-Nord
5- Région du Littoral
6- Région du Nord
7- Région du Nord-Ouest
8- Région de l'Ouest
9- Région du sud
10- Région du sud-ouest

CM
Code téléphone du Pays: +237
Bonnes et mauvaises saisons
La Région de l'Adamaoua
Capitale régionale : Ngaoundéré
Population : 681 362 hbts
Superficie : 63 701 km2
Nombre de départements : 05
Densité : 10,7 hbts/km2

Aspects touristiques:


Chà¢teau d'eau du Cameroun, cette région est la zone par excellence des lacs de cratère, des ranches, des sources thermo minérales, des réserves de faunes et des grottes. Présence de Lamidats et des ethnies féodales.
La Région du Centre
Capitale régionale : Yaoundé
Population : 2 272 259 hbts
Superficie : 68 953 km2
Nombre de départements : 10
Densité : 32,96 hbts/km2

Aspects touristiques:


Cette région qui abrite la capitale politique du pays offre aux visites plusieurs formes d'attractions. On citera :
- la visite des sites naturels très nombreux dans la région dont les grottes d'Akok-Bekoé
- la visite des monuments et des traces de la colonisation dont la statue de Charles Atangana, premier chef des Ewondos, l'ethnie autochtone de la capitale.
- La visite de la réserve forestière d'Ottomo (Ngounou)
La Région de l'Est
Capitale régionale : Bertoua
Population : 711 651 hbts
Superficie: 109 002 Km2
Nombre de départements : 04
Densité : 6,53 hbts/km2

Aspects touristiques:


Le visiteur pourra sillonner la vaste étendue de forêt qui couvre cette région. Il vous sera facilement aisé de visiter les campements des pygmées, la réserve du Dja et de vivre la Culture des Gbaya et Maka principales ethnies de cette vaste région.
La Région de l'Extrême-Nord
Capitale régionale : Maroua
Population : 2 553 389 hbts
Superficie : 34 263 km2
Nombre de départements : 06
Densité : 74,52 hbts/km2

Aspects touristiques:


Ici le visiteur aura le choix entre le cynégétique, les grands lamidats, les paysages lunaires des Kapsiki, les grottes, les grandes chefferies, les lacs à forte concertation d'hippotames, les centres artisanaux ou encore les fantasias?
On trouve de grands parcs nationaux :
- le parc national de Kalamaloué à Kousseri
- le parc national de waza à waza
-le parc national de Mozogo Gokoro à Koza
La Région du Littoral
Capitale régionale : Douala
Population : 1 861 463 hbts
Superficie : 20 248 km2
Nombre de départements : 04
Densité : 91,93 hbts/km2

Aspects touristiques:


C'est le siège de la culture du "Ngondo" grande fête traditionnelle des Sawa (appellation désignant les peuples de l'eau, autochtones de la région). C'est une région propice au tourisme balnéaire. Douala est non seulement le point de chute pour ceux qui visite le Cameroun, mais aussi la zone de concentration des monuments historiques en dehors des visites des chutes d'Ekom Kam, du lac OSSA et des autres sites naturels de la région, le visiteur aura aussi à visiter les grandes plantations industrielles du Cameroun.
La Région du Nord
Capitale régionale : Garoua
Population : 1 145 038 hbts
Superficie : 66 090 km2
Nombre de départements : 04
Densité : 17,33 hbts/km2

Aspects touristiques:


le visiteur aura face à lui une gamme très variée de produits touristiques. Ces produits multiformes se présentent sous forme de parc nationaux, de lamidats traditionnels, de plans d'eau (la benoué, le barrage de lagdo), de zone de chasse, de fantasias, de rites traditionnels, de sites archéologiques (traces de dinosaures). Les principaux parcs nationaux de la région sont :
- le parc national de la Bénoué
- le parc national de boubandjida
- le parc national du Faro
La Région du Nord-Ouest
Capitale régionale : Bamenda
Population : 1 702 559 hbts
Superficie : 17 300 km2
Nombre de départements : 07
Densité : 98,41 hbts/km2

Aspects touristiques:


Zone de montagnes, cette région est une continuité de la région de l'Ouest. ses sites naturels, son paysage verdoyant, ses chefferies, ses chutes et son artisanat font cde cette région un haut lieu de tourisme camerounais.
La Région de l'Ouest
Capitale régionale : Bafoussam
Population : 1 843 518 hbts
Superficie : 13 892 km2
Nombre de départements : 08
Densité : 132,7 hbts/km2

Aspects touristiques:


Zone de montagne, de chutes impressionnantes, de grandes chefferies Bamiléké et de lacs de cratères, c'est l'une des régions du Cameroun à tradition de funérailles (carnaval lors du culte des morts entre les mois de novembre et de février) et du nguon (grande fête de rassemblement du peuple Banoum, novembre-décembre).
La Région du Sud
Capitale régionale: Ebolowa
Population : 514 336 hbts
Superficie : 47 191 km2
Nombre de départements : 04
Densité : 10,9 hbts/km2

Aspects touristiques:


Zone de forêt dense et des iles naturels, offre aux visiteurs un cadre féérique de repos au bord de la mer avec des plages de sable doré, et des promenades aux chutes de la Lobé.
Les côtes camerounaises étant restées vierges, le visiteur peut ainsi du même coup admirer la flore (mangrove) et la faune aquatique, dans cette région propice au tourisme balnéaire.
La Région du Sud-Ouest
Capitale régionale : Buéa
Population : 1 153 125 hbts
Superficie : 25 410 km2
Nombre de départements : 06
Densité : 45,38 hbts/km2

Aspects touristiques:


Cette région abrite le plus haut sommet du pays, le mont Cameroun, et s'ouvre sur l'Océan atlantique; c'est une région propice au tourisme balnéaire. Au delà des différents produits touristiques qu'offrent cette région, le visiteur pourra apprécier le développement de l'écotourisme et visiter le parc national de Korup l'une de forêts humides les plus conservées de l'heure en Afrique.
LE TOURISME AU CAMEROUN
Le Cameroun répond, de loin, aux envies et aux attentes des visiteurs.
Le Cameroun privilégie la nature sauvage avec des phénomènes uniques au monde.
Donnant la possibilité de combiner à loisirs, tourisme de plage et éco-tourisme.

Les "Plus Touristiques"
Situé à la charnière de l'Afrique Occidentale et Orientale et s'étirant du fond du golfe de guinée jusqu'au Lac Tchad, le Cameroun offre des spécificités touristiques que l'on ne regroupe nulle part ailleurs en Afrique dans un même pays : Relief, climat, faune et flore, peuples et traditions.

Cette particularité permet au Cameroun de développer tout au long de l'année plusieurs types de tourisme différents :

Tourisme balnéaire, tourisme de montagne, tourisme de congrès et d'affaires, tourisme de safari et de chasse, éco-tourisme et tourisme culturel.


Mer et plage


le tourisme Balnéaire:
Les 400 Kms de côte Atlantique du littoral camerounais sont propices au tourisme balnéaire dont les principales attractions sont des baies pittoresques, des plages naturelles et sablonneuses, des à®les, des végétations de mangrove et des chutes se jetant directement dans la mer.

PECHE AU LARGE DES PRINCIPALES VILLES COTIERES
Pratiquée de manière artisanale ou industrielle et ouverte à tout amateur de pêche hauturière. Les nombreux fleuves qui irriguent le Cameroun constituent un réservoir d'espèces rares et abondantes qui donnent un caractère tout particulier à la pêche.


Safari et chasse


L'éco-tourisme

LE PARC NATIONAL DE KORUP qui recèle des espèces végétales vieilles de plusieurs millions d'années.

LA RESERVE DE DJA, classée patrimoine de l'humanité par L'UNESCO.

LE MONT CAMEROUN, haut de 4.070m o๠a survécu une flore datant du quaternaire est classé site international pour l'ascension. Site écologique remarquable, il fait l'objet d'un vaste projet de valorisation par une O.N.G allemande "GTZ". Un volcan encore en activité dont la dernière irruption date de mars 2000. Le site bénéficie d'une pluviométrie très élevée (plus de 15m) à Cap Debunscha.

LES SITES DE MAYO-REY portent encore des empreintes fossilisées de dinosaures.


Le Tourisme Culturel

Le Tourisme culturel tire sa richesse:

D’un artisanat développé,

Le tourisme de montagne

Tourisme de Congrès et d'Affaires


Les grandes villes de Yaoundé et de Douala, avec leurs infrastructures de standing international (palais de congrès, aéroports internationaux, hôtels de classe internationale) constituent les principaux pôles de développement du tourisme de congrès et d'affaires.
Le Mont Cameroun, qui surplombe la côte ouest, le Mont Manengouba, à la charnière du Cameroun francophone et du Cameroun anglophone, et le centre climatique de Dschang, bà¢ti sur un plateau s'élevant à 10.800 m au dessus de la mer, constituent les hauts lieux du tourisme de montagne.
Le microclimat de Dschang offre l'un des meilleurs lieux de relaxation du Cameroun.
D’un patrimoine historique également très riche (monuments et vestiges) auquel il convient d'ajouter le bilinguisme français et anglais des camerounais.
De la diversité présentée dans l'art de vivre, le folklore, la religion, l'habitat et même la cuisine. Les cases Massa en forme ovale du Nord du pays sont uniques au monde.
La population camerounaise est une mosaïque de près de 200 groupes ethniques aux coutumes et traditions différentes dont les modes de vie traditionnels subsistent encore avec, au Nord et à l'Ouest, la conservation intacte des chefferies traditionnelles.
L'intégration des préoccupations de préservations de l'environnement dans les projets d'aménagement touristique a conduit au classement et à la protection de certains sites naturels à des fins scientifiques, écologiques et touristiques.
On peut citer notamment :
Tourisme de Safari et de Chasse.
Le Cameroun compte sept parc nationaux dont le plus intéressant et le mieux aménagé est le parc de Waza dans l'Extrême Nord. Ces parc possèdent un important effectif d'animaux représentatifs de la faune africaine (éléphants, lions, girafes, rhinocéros noirs, panthères, buffles, antilopes, hippopotames, hyènes, gorilles, damalisques, guépards, etc...).
Indépendamment des parcs nationaux o๠il est interdit d'abattre des animaux, il existe au Cameroun septentrional quatorze zones de chasse comportant plus de 500 kilomètres de pistes carrossables entretenues.
Dans le domaine du tourisme de Safari, le Cameroun, en Afrique Occidentale et Centrale, vient en tête grà¢ce à une meilleure mise en valeur de ses parcs et ses réserves de faune (Boubandjida) dans l'Adamaoua.

Présentation du Cameroun

Publié le 06/12/2009 à 12:07 par fico
Données générales

Nom officiel : République du Cameroun

Superficie : 475 442 km²

Population : 18,5 millions d’habitants (estimation BM 2007)

Capitale : Yaoundé

Villes principales : Douala, Yaoundé, Bafoussam, Garoua, Maroua

Langues officielles : français et anglais

Monnaie : franc CFA (100 francs CFA = 0,15 euros)

Fête nationale 20 mai

Croissance démographique 2,2 % (BM, 2006)

Espérance de vie 50,3 ans (BM, 2006)

Part de la population ayant moins de 15 ans : 41,6% (PNUD, 2004)

Taux d’alphabétisation (15 ans et plus) : 67,9% (2004) (PNUD)

Religions christianisme (35-40%), islam (15-20%), animisme (45%)

Indice de développement humain : 150 sur 177 pays (PNUD 2006)

Part de la pop. vivant avec moins de 1$ / jour : 17% (PNUD, 2004)

Classement Transparency International : 141ème sur 180 (2008)

PIB : 24,49 Md$ (BM, 2008)

PIB par habitant : 1.324 $ (BM, 2008)

Part des secteurs d’activités dans le PIB : - agriculture : 19% - industrie : 30% - services : 49% (BM, 2007)

Taux de croissance : 3,8% (2008)

Taux d’inflation : 5,3% (BM, 2008)

Solde budgétaire(en % du PIB) : 2,2% (BM, 2005)

Solde commercial : 310 M€ (DGTPE, 2008) export pétrole inclus

Principaux clients : Espagne (20,2%), Italie (16%), France (11,9%) (EIU, 2007)

Principaux fournisseurs : France (23,7%), Nigeria (12,3%), Belgique (5,9%) (EIU, 2007)

Exportations de la France vers le Cameroun : 575 M€ (DGTPE, 2008)

Importations françaises du Cameroun : 370 M€ (DGTPE, 2008)

Flux net d’IDE : 2,8 Md€ (BM, 2007)

Consulats de France : Douala, Garoua, Yaoundé

Communauté française au Cameroun : 5567 personnes immatriculées (2009)

Communauté camerounaise en France : 35 000 (2007)

Sources : PNUD, Banque Mondiale, DGTPE, The Economist Intelligence Unit



Situation intérieure

Depuis 1982, le Président Paul BIYA est à la tête du Cameroun, pays marqué par le bilinguisme des langues officielles (français et anglais) et une grande diversité géographique, ethnique, religieuse et linguistique (plus de 250 langues recensées). Il a été reconduit pour un nouveau mandat le 11 octobre 2004 et dispose d’une très large majorité à l’Assemblée (victoire du parti présidentiel, le RDPC[1], aux législatives du 22 juillet 2007).
Un projet de loi portant révision de la constitution a été adopté par l’assemblée nationale le 10 avril 2008. Plusieurs articles ont été modifiés, dont la suppression de la limitation du nombre de mandats présidentiels (la constitution en prévoyait deux). La situation est stable, néanmoins en février 2008 des émeutes avaient éclaté en marge d’une manifestation de l’opposition et d’une grève des transporteurs.
La relance de l’économie et de la croissance, la lutte contre la corruption demeurent les priorités affichées par le gouvernement camerounais. Les préoccupations des autorités camerounaises face à une insécurité maritime montante se sont également précisées ces derniers mois.
Le 30 juin 2009, le Président BIYA a procédé à un remaniement de faible ampleur de l’équipe gouvernementale maintenant les équilibres ethniques, géographiques et linguistiques. Toutefois, M. Philemon YANG remplace t-il M. INONI à la tête du gouvernement. Comme son prédécesseur il est issu de la zone anglophone. M. Edgard Alain MEBE NGO’O, ancien délégué général à la sûreté nationale, a quant à lui été nommé à la Défense ; son prédécesseur M. ZE MEKA a quitté le gouvernement. Les autres principaux ministres de l’ancienne équipe ont pour la plupart gardé leur portefeuille.
Début novembre, le président Biya a déclaré entendre l’appel du Parti pour qu’il se porte candidat à sa propre succession en 2011, mais il demeure silencieux sur ses intentions, tandis qu’il demande à son ministre de l’administration territoriale, Marafa Hamidou Yaya, d’élaborer un échéancier pour préparer cette échéance électorale.
Un projet de code électoral a ainsi été remis au Premier ministre.



Situation économique et financière

Le pétrole continue à occuper une place importante dans l’économie camerounaise, dont il représente 52% des exportations en valeur[2]. Hors pétrole, le solde commercial serait déficitaire (-343M€ contre +336M€ en prenant en compte le pétrole, pour l’année 2006). Le Cameroun doit aujourd’hui diversifier et consolider ses autres ressources. Outre le pétrole, le Cameroun exporte de l’aluminium et des produits primaires (bois, coton, cacao, café, banane et caoutchouc) qui comptent pour 25% de ses exportations globales.
Les flux avec les pays de la zone CEMAC, dont le Cameroun constitue la tête de pont maritime, ne représentent qu’une faible part des échanges commerciaux (en moyenne 3,6% depuis l’instauration de la zone de libre échange de la CEMAC en 1999). Les principaux partenaires commerciaux du Cameroun sont l’UE, le Nigeria et la Chine.
Après le report en août 2004 du point d’achèvement de l’initiative PPTE (pays pauvres très endettés), le Cameroun a franchi avec succès cette étape fin avril 2006. Cela lui a permis de bénéficier en juin 2006 d’une annulation de dette de 3,475 milliards $ de la part des créanciers du Club de Paris (créanciers bilatéraux). La France, qui détenait 40% de la dette bilatérale du Cameroun (soit 1,2 Md$) a ainsi mis en œuvre un premier « Contrat de Désendettement et de Développement (C2D) », qui permet de réinjecter dans l’économie camerounaise environ 100M€ par an pendant 5 ans. Le C2D français est principalement affecté aux objectifs prioritaires identifiés dans le Document stratégique de réduction de la pauvreté (DSRP).
La crise mondiale pose toutefois aux autorités camerounaises de redoutables défis. Le niveau inférieur des cours du brut a pour effet de réduire les recettes d’exportation et les recettes budgétaires. Le net repli de la demande extérieure porte durement atteinte aux principales exportations. Le durcissement des conditions de financement extérieur retarde la marche d’importants projets d’investissement. En raison de ces chocs considérables la croissance pourrait être plus lente et le solde budgétaire global ainsi que le solde extérieur pourraient devenir déficitaires. Sans dispositifs de protection sociale appropriés les coûts sociaux du ralentissement pourraient être lourds. Le FMI a approuvé début juillet un décaissement de 144,1 MUSD en faveur du Cameroun au titre de la Facilité contre les chocs exogènes.


Politique extérieure

Bien que poids lourd de la zone CEMAC, le Cameroun reste relativement discret sur la scène régionale. Sur le plan politique, la coopération du Cameroun avec ses voisins de la zone Franc se concentre sur les questions de sécurité transfrontalière. Le Cameroun constitue une terre d’asile pour les réfugiés de la région.
Pays hôte de trois Ecoles nationales à vocation régionale[3], le Cameroun pourrait jouer un rôle plus actif dans les mécanismes de concertation régionale et de prévention des conflits. Un contingent de 119 hommes a été déployé dans le cadre de la MICOPAX (Mission de consolidation de la paix en Centrafrique - précédemment Force multinationale de la CEMAC en Centrafrique - FOMUC) en mai 2008.
Un projet de centre de formation au profit des forces de sécurité des pays africains francophones et anglophones en « sortie de crise » ou souhaitant participer activement aux opérations de maintien de la paix a été lancé avec le soutien du Département des Opérations de Maintien de la Paix de l’ONU (école internationale des forces de sécurité - EIFORCES).
Le litige relatif à la souveraineté de la presqu’île de Bakassi a été tranché par un arrêt de la Cour internationale de Justice du 10 octobre 2002, mais il a fallu attendre 2006 et l’accord de Greentree pour que le Nigeria s’y conforme. Le 14 août 2008, le Nigeria a rétrocédé la dernière partie de la presqu’île de Bakassi qui était encore sous son autorité. Depuis la fin de l’année 2008, la situation à Bakassi est redevenue une source de préoccupation pour les autorités camerounaises, après plusieurs attaques meurtrières conduites par des groupes armés.
Le Pape a effectué une visite au Cameroun du 17 au 20 mars 2009.


Information Générale

Publié le 05/10/2009 à 09:44 par fico
PAYS CAMEROUN

CAPITAL YAOUNDE

SUPERFICIE 475 440 km2

POPULATION 18 558 182

PNB 2007
(rang mondial/en milliards de dollars) 90e/231

PNB/habitant 2006 176e/231

PARITE DU POUVOIR D' ACHAT 2089 $
(169% du PNB/hab.)

INDICATEUR DU DEVELOPPEMENT HUMAIN 5,5

CLASSE RISQUE C
> l'analyse COFACE

SITUATION GEOGRAPHIQUE
Ouvert sur l’océan Atlantique, le Cameroun occupe une partie centrale de l’Afrique. Depuis le golfe de Guinée (golfe du Biafra), il s’étire vers le nord jusqu’au lac Tchad, formant un triangle qui relie l’Afrique équatoriale et l’Afrique occidentale. Au sud, la plaine côtière et l’intérieur des terres sont couverts d’épaisses forêts tropicales tandis qu’en direction du nord, celles-ci font place à la savane puis à la steppe soudano-sahélienne, qui descend vers les marécages en bordure du lac Tchad. Le trait dominant du relief local est le massif de l’Adamaoua, un arc montagneux qui sépare le nord et le sud du pays. Véritable château d’eau de l’Afrique avec ses riches terres arables, il sépare le Cameroun en forêts équatoriales au sud-ouest et savanes et semi désert au nord. Au centre du pays, Yaoundé, la capitale administrative et politique, est située dans une région boisée à vocation agricole (cacao, bananes) mais compte également quelques industries. Douala, capitale économique et port principal sur l’estuaire du Wouri, peut compter sur un potentiel industriel incarné par la production d’aluminium, l’agroalimentaire, le textile, la transformation du bois.

FRONTIERE (km) côtes : 402
Centrafrique : 797
Congo : 523
Gabon : 298
Guinée équatoriale : 189
Nigeria : 1 690
Tchad : 1 094

CONSTITUTION République du Cameroun

PRESIDENT Paul Biya

PREMIER MINISTRE



République. Régime présidentiel.
Constitution du 2 juin 1972, plusieurs fois modifiée.
Le président, élu pour sept ans au suffrage universel, détient le pouvoir exécutif, assisté par un Premier ministre.
Assemblée nationale : 180 membres élus pour cinq ans au suffrage universel. Sénat : créé lors de la révision constitutionnelle du 18 janvier 1996 mais pas encore installé.
monnaie franc CFA

cours 100 XAF
(= 0,1524 €)
régimes des changes cours fixe par rapport à l'euro
fête nationale le 20 mai.

POPULATION
Population 18 558 182
accroissement
(pourcentage) 2,16
densité absolue
(habitants au kilomètre carré) 40
population âgée de 0 à 14 ans
(pourcentage) 41,29
population âgée de 15 à 64 ans
(pourcentage) 55,35
population âgée de plus de 65 ans
(pourcentage) 3,37
âge médian
(années) 18,9
indice de fécondité
(naissances par femme) 4,42
espérance de vie
(années) 51,79
population urbaine
(pourcentage) 56,48

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décalage horaire 0h
langues parlées français, anglais, quelque 220 dialectes.
composition ethnique 200 ethnies.
religion croyances traditionnelles 40%, chrétiens 40%, musulmans 20%.

AGRICULTURE

Bois
Cacao
Café
Canne à sucre
Coton
Maïs
Millet
Pommes de terre
Riz
Thé
Bovins
Ovins
Porcins
Production halieutique

MINES
Diamant
Or
Pétrole
Réserves de pétrole